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5 janvier 2012 4 05 /01 /janvier /2012 10:18

Alors que la composition des prothèses PIP est au coeur de toutes les inquiétudes, le Ministre de la santé Xavier Bertrand a demandé plusieurs enquêtes pour "tout savoir" sur les défaillances des systèmes de contrôles qui ont permis à cette société de commercialiser des implants défectueux.

Des enquêtes et une mission parlementaire demandées

Mardi sur l’antenne de France 2, le ministre de la santé Xavier Bertrand dit avoir demandé des enquêtes à la Direction générale de la santé et à l’Afssaps suite au scandale des prothèses PIP. "Aujourd’hui les éléments nous laissent penser que ces gels (utilisés pour les implants mammaires PIP, ndlr) étaient vraiment frelatés. Comment dans ce cas les contrôles ne l’ont pas déterminé, c’est cela qui m’intéresse (…) Je veux tout savoir (…). J’ai demandé des enquêtes à la Direction générale de la Santé, à l’Afssaps pour savoir ce qui s’est passé, comment ont été faits les contrôles" a indiqué Xavier Bertrand, qui a également déclaré que le président de la société PIP avait été interrogé par l’Afssaps.

Par ailleurs, la sénatrice et ex-ministre des Sports Chantal Jouanno a demandé la création d’une mission parlementaire sur le thème des prothèses mammaires PIP. Dans un communiqué du 3 janvier, elle estime "qu’il est indispensable de s’interroger sur les alertes dans le domaine de la matériovigilance, et également, en matière prospective, de réfléchir à l’encadrement des dispositifs médicaux, principalement dans le domaine de l’esthétisme non pris en charge". Une initiative saluée par le Ministre de la santé.

Xavier Bertrand a également précisé s’entretenir régulièrement avec ses homologues européens pour les informer des derniers développements de ce dossier.

Lire la suite sur : doctissimo.fr

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5 janvier 2012 4 05 /01 /janvier /2012 10:16

Après le scandale des prothèses PIP, ce sont aujourd’hui les injections contre les rides qui font polémique. Selon The Times, le marché des injections ne serait pas suffisamment réglementé compte-tenu des risques que présenteraient ces dispositifs médicaux.

Le magazine britannique recense plus de 160 produits de comblement des rides du visage homologués à la vente, tels que le collagène ou l'acide hyaluronique. Tous peuvent être achetés et utilisés sans grande restriction médicales. En comparaison la Food and Drug Administration applique à ses produits les mêmes règles que pour les médicaments et n’a ainsi qu’une vingtaine de produits autorisés sur son marché.

La situation française est plus proche de celle du Royaume-Uni. Le marché de ces dispositifs est en constant développement, ils représentent un volume de vente en France entre 2003 et 2008 de plus de 3 000 000 de seringues soit 600 000 seringues par an. Actuellement environ 80  produits sont commercialisés en France par 25 fabricants. Ces produits ne sont pas soumis à la même règlementation que les médicaments. Un certificat CE délivré par un organisme habilité et lui-même contrôlé par une autorité sanitaire nationale (en France, l’Afssaps), autorise la mise en vente des produits de comblement. Une situation que l’Afssaps reconnaît sur son site : "Les données cliniques relative aux produits injectables de comblement des rides réalisées chez l’homme ne sont pas suffisantes pour garantir la sécurité d’utilisation du produit notamment à cause d’effectifs insuffisants et de durée d’apparition tardive de certains effets secondaires graves tels que le granulome (quelques mois à plusieurs années)".

De plus, comme pour les implants, la durée des essais cliniques et les effectifs recrutés seraient insuffisants pour garantir la sécurité d’utilisation des produits de comblement des rides et détecter l’ensemble des effets indésirables. "En effet, les deux paramètres limitants de ces types d’essai clinique sont l’effectif réduit des candidats recrutés et la durée limitée de l’essai" reconnaît l’agence qui va jusqu’à déconseiller "aujourd’hui l’utilisation dans une finalité esthétique des produits injectables non résorbables du fait d’un risque non maîtrisé d’effets indésirables graves très retardés". Lire la suite sur : doctissimo.fr

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5 janvier 2012 4 05 /01 /janvier /2012 10:11

TVA à 5,5 % ou 7 %... Pour nombre de commerçants, le projet d’instruction fiscale édité par le ministère de l’Economie risque fort de s’apparenter à véritable casse-tête. En effet, pour le volet alimentaire, selon que les produits soient destinés à une consommation immédiate ou pas, ils seront taxés à 7 % ou 5,5 %.  Cette hausse de la TVA sur certains produits et services est censée rapporter 1,8 milliard d'euros à l'Etat chaque année.

 

En fait, tous les produits alimentaires destinés à une consommation immédiate seront taxés à 7 %. Le ministère donne ainsi quelques exemples concrets pour mieux comprendre les subtilités de ce projet fiscal. Ainsi, les kebabs, pizza et autres sushi sont soumis à une TVA de 7 % achetés chez un commerçant. Mais ces mêmes produits achetés au rayon surgelés, par exemple des pizzas congelées, seront taxés à 5,5 %.

 

Cette même gymnastique mentale sera à appliquer pour les boissons non alcoolisées. Par exemple, si vous achetez une canette de soda, elle sera taxée à 5,5 % car pouvant être consommée plus tard. Mais si vous commandez un soda en même temps que votre sandwich et qu’il vous est servi dans un verre, votre soda sera taxé à 7 %.

 

Même chose pour les glaces : votre glace à l’italienne ou esquimau seront taxés à 7 % tandis qu’achetés au supermarché au rayon surgelé, ils seront taxés à 5,5 %.  Tout dépend du conditionnement.

Le ministère explique que "cette situation découle des caractéristiques du produit lorsqu’il est nécessaire de le consommer très rapidement pour que son goût ne s’altère pas ou pour que le produit ne se gâte pas. La circonstance que le client n’entend pas consommer immédiatement le produit en question ne fait pas obstacle à sa taxation au taux de 7 %"... Lire la suite - Source : doctissimo.fr

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28 décembre 2011 3 28 /12 /décembre /2011 11:02

Chaque hiver, les petites infections nez-gorge-oreilles reviennent. On peut s’en débarrasser en quelques jours en prenant le bon traitement au bon moment. Mais lequel ?

 

1. Sinusite : Faut-il prendre de la cortisone ?

Dans la plupart des cas, un rhume disparaît spontanément en quelques jours. Mais, en cas de surinfection, la muqueuse nasale ne permet plus aux sécrétions de s’évacuer. Du pus s’accumule dans les sinus, provoquant de vives douleurs : c’est la sinusite aiguë. Les lavages de nez avec du sérum physiologique ou de l’eau de mer, tout comme les inhalations de plantes décongestives (lavande eucalyptus, thym…), sont indispensables. Mais cela ne suffit pas toujours. Des antibiotiques durant sept à dix jours et, si la douleur est intolérable, un traitement corticoïde durant quatre à cinq jours permettent de diminuer la douleur, de réduire l’œdème des muqueuses et de faciliter l’évacuation des sécrétions. En dernier recours, il faut parfois poser un drain dans les fosses nasales pour évacuer le pus.

 

Lire la suite sur : topsante.com

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28 décembre 2011 3 28 /12 /décembre /2011 11:00

Chaque hiver, les petites infections nez-gorge-oreilles reviennent. On peut s’en débarrasser en quelques jours en prenant le bon traitement au bon moment. Mais lequel ?

 

1. Angine : Peut-on demander le test de dépistage ?

Une douleur en avalant, de la fièvre et des ganglions dans le cou : c’est sans doute une angine.

D’origine virale le plus souvent, elle peut aussi être due à une bactérie (streptocoque) et entraîner des complications cardiaques ou rénales. D’où le traitement par antibiotiques. Depuis 2002, l’Assurance maladie fournit gratuitement aux médecins qui en font la demande des kits de dépistage rapide du streptocoque.
On prélève quelques cellules sur les amygdales avec un écouvillon (bâtonnet enrobé de coton). On le plonge dans un produit réactif où l’on place une bandelette. Le résultat apparaît après cinq minutes.

- Si le test est négatif, l’angine est sans doute virale. Du paracétamol (contre la douleur et la fièvre) avec un collutoire (pour soulager la gorge) et des tisanes pendant trois ou quatre jours suffiront.


- Si le test est positif, un traitement antibiotique pendant six jours s’impose. En principe, les médecins doivent proposer ce test dès l’âge de 3 ans. En pratique, ce n’est pas toujours le cas. Dix minutes

 

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28 décembre 2011 3 28 /12 /décembre /2011 10:57

Les jeunes mamans sont invitées à quitter la maternité de plus en plus tôt. L’Assurance maladie envisage de généraliser un dispositif qui prévoit une sortie rapide de l’hôpital après l’accouchement en échange d’un suivi à domicile par une sage-femme libérale.

Un séjour écourté à la maternité contre une sage-femme libérale à domicile. Ce "programme d’accompagnement du retour à domicile", expérimenté depuis 2010 dans trois départements puis dans 26 départements en 2011, fait son chemin. La Caisse nationale d’assurance maladie (CNAM) envisagerait même de le généraliser en 2012, fait savoir Le Monde.

Avec ce programme, baptisé Prado, une "conseillère de la Caisse primaire d'assurance-maladie (CPAM) rendr[ait] visite à la nouvelle accouchée à la maternité pour lui proposer un suivi à domicile", détaille Le Monde. La maman choisirait "à la carte" la sage-femme libérale qui lui rendrait visite à domicile le jour de sortie de la maternité puis une deuxième fois les jours suivants. L’idée a de quoi séduire les futures mamans, puisqu’elle permettrait d’améliorer le suivi après l’accouchement, qui fait actuellement défaut.

 

Source : topsante.com

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27 décembre 2011 2 27 /12 /décembre /2011 17:03

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La douleur lors d'un accouchement est très variable d'une femme à l'autre. Au-delà de la préparation qui vous aidera à respirer, vous relaxer, vous mettre en confiance, l'équipe médicale dispose également de moyens médicamenteux qui permettent à celles qui le souhaitent d'accoucher sans douleur.
L'analgésie péridurale

Douleur accouchementL'analgésie péridurale (extradurale ou extra-rachidienne) est très efficace. Le médecin commence par une anesthésie locale de la région du dos où sera enfoncé le trocard. Ensuite, il introduit l'aiguille entre la 4ème et la 5ème vertèbre lombaire, dans la partie basse de la colonne vertébrale. Un cathéter (fin tuyau) est ensuite passé à travers le trocard qui est alors retiré. Le cathéter reste en place et servira tout au long de l'accouchement. Les drogues injectées (bupivacaïne) imprègnent les racines nerveuses à leur sortie de la moelle épinière mais ne touchent pas cette dernière. En effet, la dure-mère n'est pas traversée.

La perte de la sensibilité à lieu dans l'ordre suivant : perte de la sensibilité thermique, puis douloureuse puis tactile et enfin complète. La récupération de la sensibilité en fin d'anesthésie se fait dans l'ordre inverse. Les douleurs ne sont plus ressenties mais la conscience reste intacte. La femme peut donc en toute lucidité exercer les poussées nécessaires à la naissance de son enfant.

Cette anesthésie peut également être utilisée lors des césariennes dont elle diminue les risques.

En 1998, 62,6 % des accouchements se sont déroulés sous péridurale. Les contre-indications sont rares : allergie aux produits anesthésiques, déformations prononcées de la colonne vertébrale, fièvre, troubles de la coagulation. Remboursée totalement sur la base d'un tarif conventionnel, la péridurale peut donner lieu dans certains établissements privés à des suppléments non remboursables.

 

Lire la suite sur : doctissimo.fr

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22 décembre 2011 4 22 /12 /décembre /2011 11:11

La réponse est non, surtout quand on est jeune et en bonne santé. Surtout quand les nuits sont belles, et les levers de soleils paisibles. Surtout enfin quand la soupe à l'oignon est bonne et que la fête a été inoubliable. Reste que l'on peut éviter certains pièges pour ne garder que le meilleur d'une nuit blanche. Tout est question de bon sens.

Quels sont les risques d'une nuit blanche ?

Une grosse fatigue
Cela n'a pas grande importance si vous n'avez que deux pas à faire pour rejoindre un lit, mais c'est une autre histoire sur la route si vous devez conduire. Or tout le monde accuse une baisse de vigilance, notamment autour de 3 heures du matin. Ce n'est donc pas le moment de conduire, faute de quoi votre temps de réaction double, avec les conséquences dramatiques que cela peut avoir. La somnolence multiplie par 5,6 le risque d'accident entre 2 et 5 heures du matin. De plus, si accident il y a, il risque d'être beaucoup plus grave : la nuit est responsable de 37 % des blessés graves et de 45 % des tués, pour une circulation estimée à 10% seulement.

Une recrudescence de certains problèmes médicaux
Les asthmatiques doivent fuir les endroits enfumés, car le calibre de leurs bronches a tendance à rétrécir entre 21 heures et 5 heures du matin. Ce n'est donc pas la peine d'en rajouter, sous peine de crise d'asthme (une bonne raison pour ne pas oublier vos médicaments). Ceux qui ont des antécédents cardiaques ne doivent pas forcer sur la piste de danse, surtout au petit matin : vers six heures, leur tension grimpe, leur viscosité sanguine augmente, d'où un risque accru d'infarctus, cette fois. Source : e-sante.fr

 

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22 décembre 2011 4 22 /12 /décembre /2011 11:01

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Les erreurs ou maladresses qui nuisent à notre alimentation pendant les fêtes ne sont pas toujours celles que l'on croit… Passage en revue de ce qu'il ne faut surtout pas faire pour rester légère pendant les fêtes.

1ère erreur pendant les fêtes : culpabiliser à l'excès

La culpabilisation n'est jamais une bonne solution pour faire régime. Au contraire, si vous avez fait un excès alimentaire quelconque, culpabiliser va vous déprimer, vous décourager, et vous rendre encore plus susceptible de craquer si vous avez tendance à manger en fonction de vos émotions.

Accepter que les fêtes sont un moment exceptionnel de l'année, au cours duquel il est socialement bien vu de faire des agapes généreuses, vous permettra de mieux vivre les excès éventuels sans vous alourdir de culpabilité.

Sachez aussi relativiser les débordements alimentaires en question : on ne parle finalement, au grand maximum, que d'une demi-douzaine de repas très généreux, et encore. A l'échelle d'une année, ce n'est pas énorme.

2ème erreur pendant les fêtes : se priver

Dans le même esprit, essayer de résister au maximum aux délices qui se présentent devant vous n'est pas un exercice très constructif.

D'abord, cela va sans doute vous gâcher une partie de la fête, surtout si les gens se rendent compte que vous êtes "au régime".

Les fêtes de fin d'année sont l'occasion de partager des repas festifs. Ne pas suivre cette règle du jeu risque parfois, selon la sensibilité de votre entourage, de vous mettre en marge. Et en plus, la frustration peut vous mener à de vrais craquages : dévorer en un quart d'heure la boîte de pralines que vous avez reçue de votre filleul est bien plus mauvais que reprendre une part de bûche, par exemple !

Source : e-sante.fr

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21 décembre 2011 3 21 /12 /décembre /2011 18:20

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L’association Générations Futures a comparé les teneurs en résidus de pesticides des fruits, légumes et céréales dans des menus types bio et non bio destinés à des enfants de 10 ans. Résultat : Il y a 223 fois moins de résidus de pesticides dans les aliments bios que dans les aliments conventionnels.

Des résidus chimiques dans les menus destinés aux enfants

Entre juillet et septembre 2010, Générations Futures avait acheté dans divers supermarchés des aliments non bio composant les repas types d’une journée d’un enfant d’une dizaine d’années. En décembre 2010, l’analyse des 4 repas et un encas composés montraient qu’en 24 h, un enfant était susceptible d’être exposé, uniquement par son alimentation, pas moins de 128 résidus chimiques, la palme ayant été attribuée aux pesticides avec 36 molécules différentes ingérées en une seule journée dont 17 cancérigènes et perturbateurs endocriniens.

Logiquement, cette enquête s'est poursuivie cette année et a comparé les menus non bio étudiés et des repas composés avec les mêmes aliments issus de l’agriculture biologique, en se focalisant sur les résidus de pesticides.

Aucun résidu de pesticides dans les menus bio, 37 dans les repas conventionnels

Bio et non bio se distinguent par le recours ou non à des pesticides de synthèse. Logiquement, l’association a recherché ces substances dans les menus bio et non bios destinés aux enfants. "En outre, certains sceptiques disent parfois que les cultures ne se font pas sous cloche et que donc les champs bios pourraient être contaminés par des pesticides pulvérisés sur les champs conventionnels. Nous avons donc souhaité vérifier, par cette enquête, si la différence entre les produits bios et non bios était bien réelle", précise Générations Futures.

 

Lire la suite sur : doctissimo.fr

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